Le premier couteau que je vis avait des poignées noires (pas en corne mais en plastique), cran forcé et lame type anglais (stylet) ... Donc, je ne savais pas que j' aimais la coutellerie française (les palanquilles prennait rapidement de jeux à la lame).
Ces couteaux puissent également de l'autre coté des Pyrénées, à l'Hexagone. Mais au sud ont été considérés comme typiques de la tradition ... Il y a, en plus, des autres: le cévenol, le mineur, le donjon, le Langres ... Les plus anciens que j'ai vu sont des années 40 du XXe siècle ( -juste après la guerre civile -bien que il y a des plus anciens comme le mineur).
Le cévenol est appellé "cabritera" (à sacrifier les "cabritos"-chevreaux) ou Girodia (nom révélateur ...).
Mitra longue et triangulaire, lame en feuille de saule, extrême en bec de corbin; fait au sud du Massif Central ... mais plus au sud, presque en Andalousie. Il y a maintenant deux seuls fabricants. Comme je l'ai déjà dit, je suis intéressé aux couteaux qui indiquent les relations entre les différents bassins couteliers.
Deux cévenol-cabriteras-girodias de monsieur Rafael Wízner, maître coutelier (Oui, il fait aussi de l'haute coutellerie et même "de l'haute coutellerie modeste").
Hermoso y poético blog, felicitaciones desde Montevideo.
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ResponderEliminarEl repiqueteo de ese yunque se distingue también a este lado del Atlántico.
ResponderEliminarGracias.
Gracias amigo Hefesto, dentro de lo posible el "Viejo yunque" sigue repicando.
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