LA SOMME DE L'ODALISQUE/PHOTOS LAGUIOLE RENAUD AUBRY

(D'abord, les mouches qui peuvent interrompe la petite somme)

Oui, c'est vrai. L'artisan a repondu les questions proposées;  il a eu de  la patience (ça n'est pas une vertu general chez tous les couteliers). 



Et quand un homme avec trop de temps visite un forum de couteaux le dimanche, le lundi suivant  passe une commande chez Aubry.

(En haut, le rêve de l'odalisque-voir Ingres-)

Les declinaisons sûr les lags sont  une raison pour laquelle je les affectionne

Vertige de la liste. Una fois je vis  une grande mallette -une valise plutôt- avec plusieurs appartements à une coutellerie; il y avait deux, trois, quatre centaines de laguioles. C'était enervant!

Énervement plaisant

Peut-être Homère seulement  pourrait  dire ici la beauté de chacun,  chercher des paroles pour resumer la nature particulier de tous; nomer les matiêres, les gravures,  les subtilités des milliers de galbes , l'épaisseur des poignées, les géométries des viroles (avec leurs présences et absences), les multiplicités de la silhouette des lames , et caetera. Homère ou Lemasson, bien sûr.

(Voilà la somme)

LE BAPTÊME D'UN LAGUIOLE OU LA MÉTAMORPHOSE D'UN COUTEAU/PHOTOS LAGUIOLE AUBRY AMOURETTE

La bas (J. K. Huysmans) n'est pas la meillere lecture pour aller à la tenue d'un baptême. Quand je me suis promené aux musées plus importants ( Le Prado, le Rijksmuseum, le Louvre...) j'ai pu voir beaucoup des peintures religieuses ou on a representé un couteau sur la table/autel: les couteaux eucaristics -parfois gros et puisants-.  À l'heure de la table j'aime laisser à côté du plat un couteau personel. Dans ce cas, pour n'offenser personne je pensai à un laguiole discret (pas de  lame polie, pas d'éclat, pas de contre biseau); je choisis un lag Aubry, lame et viroles mates, côtes en amourette...Il était mon premier Aubry (je l'achetai dans un site très connu, avant de contacter directement l'artisan et avant de l'ouverture du site artisancoutelier.com)

Ce lag n'était pas mon preféré, bien sûr. Mais quand un dineur montrai le sien -bon, il était mon frère, et c'est moi qui l'a offert le couteau) j'osai montrer le mien. L'effet fut inmediat; bien que quelques mamans me regardèrent comme si je fusse le roi Hérode le jour de la massacre des innocents,  on parla sûr les couteaux pendant un, deux, trois,..presque un quart d'heure. (Ne vous inquietez, le faux havane est  un vrai chocolat)  À l'heure des liqueurs on a changé les nappes; on parla sur X,Y, Z et aussi à propos de belles montres de poche (et j'ai mis la montre dans l'oreille de certains petits démons agités et quand ils ont entendu le bruit du mécanisme ils cessèrent pendant un certain temps d'ennuyer tout le monde).       " Je Je suis satisfait parce que le couteau est mieux que je pensais; et quand j'ai vu cet objet entre la vaisselle et les bouteilles j'ai rappellé l'étonnement et le choc contenu sur les visages. Voilà la petite métamorphose d'un couteau (plus exactement, la métamorphose  -si on veut puéril-  d'un homme induite par un couteau).